Fondation Yves-Bernard-Émile
LA SEMENCE
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Bienvenue
Bienvenue sur le site de la Fondation Bernard-Émile, ci-devant Fondation Bernard-Émile pour les jeunes (FBEJ) à Montréal.
Ce site est créé en hommage à la vie de Bernard, décédé à l'âge de 26 ans.
Il est aussi dédié à tous les jeunes comme un support dans leur cheminement vers leur pleine réalisation spirituelle, psychologique et sociale.
Soutenir les jeunes créateurs particulièrement les jeunes poètes et écrivains.
Soutenir le cheminement des jeunes au niveau familial, social, spirituel, éducatif,
mental, physique et
psychologique.
Notre mission
Historique
La Fondation a été créée le 22 avril 2011 et a reçu ses lettres patentes le
12 janvier 2012.
Hommage
Nous sommes réunis aujourd’hui avant tout pour rendre grâce à Dieu, Père, Fils et Esprit. Nous voulons honorer Dieu d’abord parce qu’Il est Dieu, Dieu qui nous donne la vie, Dieu qui donne sa vie pour nous et Dieu qui nous fortifie et qui nous console. Nous voulons chanter et reconnaître aujourd’hui la magnificence de Dieu, Sa gloire, Son amour, Sa présence au milieu de nous. C’est un privilège, d’avoir Dieu dans notre vie.
Un héritage à partager
Ce que Bernard nous a laissé en héritage, c'est sa grande foi, sa passion pour la Parole de Dieu, son courage, sa ténacité, son calme, sa patience et sa persévérance. Nous utilisons ce site en partie pour rejoindre les jeunes sur le plan spirituel car nous croyons que nous sommes créés par Dieu et pour Dieu et que nous avons la mission de Le faire connaître à tous les hommes.
''Ne craignez pas ceux qui peuvent tuer le corps mais ne peuvent tuer l'âme''
Le martyre de saint Polycarpe (69-155), évêque
« Ne craignez pas ceux qui tuent le corps mais ne peuvent pas tuer l'âme » Matthieu 10, 28.
Ils ne l'ont pas cloué, mais l'ont attaché. Lié au poteau, les mains derrière le dos, Polycarpe ressemblait à un bélier de choix, pris dans le troupeau en vue du sacrifice, un holocauste agréable à Dieu.
Alors, levant les yeux, il a dit : « Seigneur, Dieu tout-puissant, Père de Jésus Christ, ton Enfant bien-aimé et béni, par qui nous t'avons connu, Dieu des anges et des esprits du ciel, Dieu créateur de tout l'univers et de toute la race des justes qui vivent en ta présence, je te bénis. Oui, tu m'as jugé digne de ce jour et de cette heure, digne d'être compté parmi tes martyrs et de boire à la coupe de souffrance de ton Christ. Ainsi mon âme et mon corps revivront avec toi pour toujours, grâce à l'Esprit Saint qui ne peut pas mourir. Accorde-moi d'être reçu aujourd'hui en ta présence avec tes martyrs, comme un sacrifice beau et agréable... Tu m'y as préparé ; tu me l'avais montré ; tu as gardé ta promesse, Dieu fidèle et vrai. Pour cette grâce et pour toute chose, je te loue, je te bénis, je te glorifie par le grand-prêtre éternel et céleste, Jésus Christ (He 4,14), ton Fils bien-aimé. Par lui, qui est avec toi et l'Esprit, gloire à toi maintenant et dans les siècles à venir. Amen ».
Les morts ressusciteront
PREMIERE LECTURE - Deuxième livre des Martyrs d'Israël 7, 1-2. 9-14
1 Sept frères avaient été arrêtés avec leur mère. A coups de fouet et de nerf de boeuf, le roi Antiochus voulut les contraindre à manger du porc, viande interdite. 2 L'un d'eux déclara au nom de tous : « Que cherches-tu à savoir de nous ? Nous sommes prêts à mourir plutôt que de transgresser les lois de nos pères. »
9 Le deuxième frère lui dit, au moment de rendre le dernier soupir : « Tu es un scélérat, toi qui nous arraches à cette vie présente, mais puisque nous mourons par fidélité à ses lois, le Roi du monde nous ressuscitera pour une vie éternelle. »
Après celui-là, le troisième fut mis à la torture. Il tendit la langue aussitôt qu’on le lui ordonna, et il présenta les mains avec intrépidité, en déclarant avec noblesse : « C’est du Ciel que je tiens ces membres, mais à cause de sa Loi je les méprise, et c’est par lui que j’espère les retrouver. » Le roi et sa suite furent frappés du courage de ce jeune homme qui comptait pour rien les souffrances. Lorsque celui-ci fut mort, le quatrième frère fut soumis aux mêmes tortures. Sur le point d’expirer, il parla ainsi : « Mieux vaut mourir par la main des hommes, quand on attend la résurrection promise par Dieu, tandis que toi, tu ne connaîtras pas la résurrection pour la vie éternelle. »